Une stagnation, puis une baisse, de la demande de produits pétroliers est anticipée d’ici 2030 grâce aux progrès technologiques et à l’évolution des usages. Suivra une réduction significative de la demande à l’horizon 2050. Ces produits feront face à des exigences de plus en plus fortes de limitation des émissions liées à leur extraction et à leur usage.
TotalEnergies réduit donc la part des produits pétroliers dans ses ventes de 65 % en 2015 à 44 % (hors Covid-19) en 2021, avec un objectif de 30 % en 2030.
Nous limitons nos nouveaux développements d’hydrocarbures aux champs les moins émetteurs. Ainsi TotalEnergies a décidé en 2021 de quitter le Venezuela, considérant que la production des pétroles lourds de l’Orénoque ne répondrait pas à ses objectifs d’émissions de gaz à effet de serre.
Par ailleurs, nous respectons des zones d’exclusion et des bonnes pratiques environnementales. Nous ne conduirons pas d’exploration pétrolière en zone de banquise arctique et n’approuverons aucune augmentation de capacités dans les sables bitumineux au Canada.
En septembre 2021, TotalEnergies a signé des accords multi énergies d’envergure en Irak, pour aider le pays dans sa transition énergétique, couvrant la construction d’un réseau de collecte et d’unités de traitement de gaz, d’une unité de grande capacité de traitement d’eau de mer et d’une centrale photovoltaïque d’une capacité de 1 GW.