VivaTech comme si vous y étiez !
Bonjour à tous. Moi, c’est Marie-Gabrielle, et je vous présente Caroline.
Bonjour.
Aujourd’hui, on est à VivaTech ! C’est le plus grand salon européen dédié aux start-up et à l’innovation. À l’intérieur, il y a un magnifique stand TotalEnergies de 300 mètres carrés. Ça va être génial ! On vous emmène. C’est parti !
Ça y est, on y est, sur le stand TotalEnergies qui s’appelle le Lab. Alors qu’est-ce qu’on a, là ? Ça pédale ! C’est pour récolter des fonds pour une association qui œuvre pour la féminisation des métiers de la tech.
Derrière moi, c’est la zone de pitch où tous nos Minimum Viable Products (MVP) et toutes nos start-up vont présenter leur activité.
C’est quoi l’enjeu pour TotalEnergies ?
TotalEnergies se transforme en une compagnie multi-énergies. Le digital, les nouvelles technologies sont aussi un levier de transformation.
Et nous, on est là pour les mettre en valeur !
Exactement.
Là, c’est Romain de chez Tilt, une des start-up de notre accélérateur à Station F, qui s’apprête à pitcher. Bonne chance !
Chez Tilt, on développe des solutions d’optimisation énergétique pour les prosumers, c’est-à-dire les consommateurs qui ont aussi des panneaux solaires sur leur toit. On a un système qui est automatique et qui permet aux gens de consommer leur propre énergie en priorité.
Parfait. Super enthousiasmant. Bravo à toi !
Tu veux de l’aide ?
Si vous pouvez prendre l’ordinateur ?
Je m’occupe de l’ordi, pas de problème.
Allez, on y va !
Là, clairement, on est en plein cœur de l’innovation et de la R&D de TotalEnergies avec la présentation d’AUSEA. Du drone, des détecteurs, il y a tout ce qu’il faut !
En quelques mots AUSEA c’est quoi ?
AUSEA c’est simple, c’est un capteur de méthane et de CO2, et puis c’est une station météo. Ce qui permettra d’avoir la concentration en chaque point de mesure, les conditions de vent et la position GPS de la mesure, pour compiler tout ça dans nos algorithmes et avoir la quantification vraie de méthane et de CO2. La connaissance entraîne le contrôle. Donc ça va permettre de diminuer nos émissions de méthane, donc de diminuer notre contribution au changement climatique, sachant que dans les développements pour l’instant c’est méthane et CO2, mais notre roadmap de R&D prévoit de le déployer en ciblant d’autres polluants.
C’est génial !
Moi, je suis complètement fan, j’adore.
Et c’est parti pour J2.
On va aller voir Green Eagle. On va parler robots et éolien avec son fondateur, Alejandro.
Nous estimons qu’à terme, chaque éolienne sera entièrement automatisée et prendra des décisions de façon autonome.
C’est passionnant. Et en quoi cela contribue-t-il à produire une meilleure énergie ?
De plein de façons ! L’éolienne sera capable d’évaluer les conditions météo et donc de s’arrêter d’elle-même pour éviter un dégât. Quand elle estimera que le danger est passé, elle se remettra en route automatiquement. Les éoliennes feront ce qu’elles ont à faire à chaque instant. On réduit ainsi le coût de la maintenance, on prolonge leur durée de vie et on augmente aussi leur rendement énergétique.
Maintenant, on va rencontrer Valbenne, un MVP de la Digital Factory qui travaille dans le biogaz et l’économie circulaire.
Valbenne, c’est une plateforme digitale qui a vocation à fluidifier les échanges entre les producteurs de résidus organiques et les méthaniseurs.
Lorsque les matières organiques se décomposent, elles dégagent du biogaz. L’objectif c’est de réussir à capter le biogaz avant qu’il ne s’échappe dans l’atmosphère. Un, on identifie la matière ; deux, on la passe dans un méthaniseur ; et trois, on va pouvoir l’injecter dans le réseau.
Patrick Pouyanné vient d’arriver sur le stand, il est en train de faire son petit tour.
Bon, on a vu que Patrick Pouyanné était assez intéressé par Hydr’Optim, on va essayer d’en savoir un peu plus…
Alors c’était comment, cette rencontre avec Patrick ?
Très bien. On dirait qu’il a acheté.
Tu nous expliques rapidement ce qu’est Hydr’Optim ?
Très simplement, c’est une solution digitale qui permet de gérer et d’optimiser un réseau d’hydrogène en raffinerie. C’est un produit qu’on a développé à la Digital Factory, qui est déployé à la raffinerie de Normandie en mode agile et qui génère déjà de la valeur. On a déjà un kilotonne de CO2 évité. L’objectif sur Normandie, c’est d’arriver à 60 kilotonnes et ensuite, si j’ai le « go » de Patrick, de le déployer à La Mède puis, j’espère, sur toutes les grandes plateformes.
Bonjour.
Bonjour !
Vous vous baladez avec votre poêle à frire là !?
On peut vous poser deux ou trois questions sur vos impressions ?
Si vous voulez !
C’est gentil, super.
En avant ! Direct.
Vous êtes là, sur le stand de TotalEnergies. De quoi êtes-vous le plus fier, finalement ?
D’être présent, déjà. Notre stand est pas mal. Et puis, il y a des gens bien comme vous. Il y a plein de sourires. J’ai vu plein de choses amusantes, plein de créativité et plein d’innovations.
Pourquoi c’est important que TotalEnergies soit là, justement, dans ce salon qui est consacré à l’innovation et aux start-up ?
Parce qu’on se transforme, parce que l’innovation est au cœur de ce projet d’entreprise, comme de TotalEnergies, donc c’est très important qu’on montre à toutes les parties prenantes qu’on est là et qu’on a envie de travailler avec elles.
Merci beaucoup. Bonne visite. Au revoir.
Ça y est ! Deux jours de VivaTech… Pour nous, c’est terminé. Franchement, en deux jours, on en a pris plein les yeux. C’était dingue. Je ne sais pas ce que tu en penses, Caroline ?
C’est sûr, on a vu tellement de projets hyper enthousiasmants pour TotalEnergies, pour notre avenir. Le digital, il est partout. On espère que vous en avez vraiment bien profité avec nous.