Ensemble, revivons l’année 2023

C’est quoi la chaîne de valeur de l’électricité ?

L’électrification bas carbone des usages de l’énergie est au cœur des feuilles de route des pays engagés vers la neutralité carbone à 2050. C’est un pilier essentiel de la transition énergétique et un marché en forte croissance sur lequel nous nous positionnons.

Pour devenir un acteur majeur de l’électricité, nous misons sur l’intégration sur l’ensemble de la chaîne de valeur de l’électricité de manière rentable.

Production d’énergie renouvelable et production électrique flexible notamment sur base gaz, stockage de l’énergie, négoce et ventes constituent l’ensemble des maillons de cette chaîne.

Renouvelables

Les énergies renouvelables sont le moteur principal de la décarbonation du mix électrique.

Pour nous, il s’agit de croître massivement dans les renouvelables tout en définissant des modèles économiques rentables. Notre objectif est de figurer parmi les cinq premiers producteurs mondiaux d’électricité renouvelable, avec une capacité brute de 100 GW en 2030.

Comment comptons-nous y arriver ? D’une part, en maîtrisant les coûts et en utilisant nos compétences préexistantes de gestion de grands projets. D’autre part, en mobilisant des financements externes à taux compétitif et des cessions partielles.

Production flexible

L’intermittence de l’électricité d’origine solaire ou éolienne crée un besoin de capacités de production flexible pour garantir l’approvisionnement continu de nos clients et la stabilité des réseaux. Le gaz, notamment, est le partenaire idéal des énergies renouvelables, puisque les centrales à gaz, flexibles et pilotables, permettent de sécuriser la fourniture d’électricité face aux aléas météorologiques et aux variations de la demande.

Comment comptons-nous y arriver ? En nous constituant un portefeuille de centrales à gaz à cycle combiné (CCGT) depuis 2015, avec 5,6 GW de capacités d’ores et déjà en opération en 2022 et en nous fixant un objectif de 7 à 10 GW.

Stockage

Le stockage de l’énergie permet de garantir la stabilité des réseaux et de satisfaire la demande. Lors des moments critiques, il permet d’injecter de l’énergie sur le réseau et de distribuer de l’énergie.

Comment comptons-nous y arriver ? En tirant parti de la forte croissance de ce marché en nous appuyant sur l’expertise technologique de notre filiale Saft pour mettre au point des système de stockage d’énergie par batterie à grande échelle, sûrs et performants. À horizon 2030, nous ambitionnons de déployer 5 GW de capacité de stockage à travers le monde.

Négoce

Sur les marchés, nous anticipons d’une part une tendance à long terme à la hausse des prix de l’électricité du fait d’une demande qui va dépasser l’offre. D’autre part, la croissance très forte des renouvelables va générer de la volatilité. Ces deux composantes vont créer des opportunités pour les traders qui, grâce à une bonne gestion du risque, vont choisir de s’exposer ou pas sur les marchés dérégulés (principalement les pays de l’OCDE et le Brésil) ou régulés (pays émergents surtout).

Comment y répondons-nous ? Nous valorisons l’électricité produite via une combinaison de contrats long terme (PPA) et d’exposition aux marchés de gros, de sorte à tirer parti de la valeur créée par les variations de prix.

Clients

Accéder à une énergie abordable et propre et permettre la montée en puissance de la mobilité électrique tout en adoptant une consommation raisonnée de l’énergie : tels sont les enjeux pour nos clients et l’ensemble de la société, engagés vers la neutralité carbone.

Comment y répondons-nous ? En continuant à développer notre portefeuille clients avec l’objectif de fournir 10 millions de clients particuliers et professionnels et de vendre 130 TWh à l’horizon 2030. En mettant en place 150 000 points de recharge pour véhicules électriques en Europe. En proposant à nos clients industriels des contrats d’achat d’électricité à long terme et des solutions de production solaire décentralisée pour les aider à diminuer leur empreinte carbone.

Conclusion

Au-delà d’un producteur d’énergies renouvelables, nous nous positionnons comme un acteur intégré de l’électricité au niveau mondial, de la production à la distribution d’électricité à nos clients finaux. Déjà présent dans ces activités avec des objectifs forts, l’enjeu est de continuer à croitre et de développer plus de synergies, pour réduire les coûts, créer de nouvelles opportunités, assurer une meilleure gestion du risque... Nous avons la conviction qu’en étant présent sur l’ensemble des maillons de la chaine de l’électricité, énergie clé du 21^e siècle, nous serons en mesure de contribuer à la transition énergétique tout en créant de la valeur pour tous, à l’image de ce que nous avons accompli avec succès sur nos activités pétrolières et gazières.

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TotalEnergies dans les airs : accompagner nos clients dans leur transition énergétique

TotalEnergies est un des leaders de l’avitaillement en carburant aérien :

• ±280 compagnies aériennes approvisionnées
• 300 aéroports
• 500 aérodromes

Nous produisons du carburant aérien durable ou SAF (Sustainable Aviation Fuel).

Qu’est-ce que le SAF ?

Le SAF est produit à partir de déchets et résidus issus de l'économie circulaire comme les huiles de cuisson usagées. Utilisé pur, il permet une réduction de 90 % des émissions de CO₂ sur l'ensemble du cycle de vie par rapport à son équivalent fossile⁽¹⁾. En pratique, il est utilisé en mélange et peut être incorporé jusqu’à 50 % dans du kérosène. TotalEnergies l’incorpore jusqu’à 30 % pour obtenir du carburant aérien alternatif. Ce carburant est utilisable dès à présent, sans modification des moteurs ni des infrastructures existantes.

Comment produire le carburant aérien alternatif ?

2 voies de production, à partir de déchets et résidus comme des huiles de cuisson usagées :

• Par hydrotraitement (HEFA), la matière première (huile de cuisson usagée) est transformée en SAF dans une bioraffinerie. Ce SAF est ensuite mélangé à du kérosène fossile, pour obtenir un carburant aérien alternatif.
• Par co-processing, les matières premières (produit pétrolier complété par des huiles de cuisson usagées) sont injectées dans une unité de raffinage traditionnelle pour obtenir du carburant aérien alternatif.

Où produit-on le carburant aérien alternatif ?

4 lieux de production en France :

• Plateforme de Normandie (en activité)
• Site d’Oudalle et bioraffinerie de La Mède (en activité et en collaboration)
• Plateforme de Grandpuits (à partir de 2024)

TotalEnergies et le SAF : une longue histoire

TotalEnergies produit et commercialiste du carburant aérien alternatif depuis 2013 et accélère dans sa production et sa distribution depuis 2021.

• Avril 2021 : première production à La Mède-Oudalle, France
• Mai 2021 : premier vol Paris-Montréal
• Juin 2021 : première offre permanente de SAF sur l'aéroport français d'affaires du Bourget
• Octobre 2021 : premier vol, en collaboration avec Airbus, Safran, Dassault, l'ONERA et la DGAC, avec 100 % de SAF
• Juin 2022 : Bordeaux-Mérignac devient le premier grand aéroport français à proposer de façon permanente du carburant aérien alternatif TotalEnergies
• Décembre 2022 : protocole d'accord pour fournir plus d’un million de mètres cubes de SAF aux compagnies du Groupe Air France-KLM pendant 10 ans

Avancer avec la société

En Europe et dans le monde, des réglementations se mettent en place pour encourager l’usage de SAF dans le transport aérien. En France, la cible d'incorporation est de 5 % en 2030. En Europe, les cibles d’incorporation pourraient atteindre 70 % en 2050.

Proposer une offre complète à nos clients

Avec ses filiales Saft et Hutchinson, TotalEnergies accompagne le secteur aérien dans sa décarbonation :

• matériaux pour assurer le transfert des fluides, l’isolation et l’étanchéité de l’appareil ;
• batteries pour permettre de démarrer les moteurs et fournir de l’électricité de secours ;
• centrales solaires, ombrières de parkings, toitures d'infrastructures, etc. ;
• camions avitailleurs avec des équipements hybrides ou 100 % électriques.

⁽¹⁾ En application de la directive européenne 2018/2001 du 11 décembre 2018 relative à la promotion de l'utilisation de l'énergie produite à partir de sources renouvelables, dite RED II

Julia Rose, Responsable du développement TotalEnergies, éolien offshore Royaume-Uni

Ici, en Écosse, la force du vent est indéniable. Et quand on sort en mer, ça souffle encore plus fort. Alors si on veut capter l’énergie du vent, c’est là qu’il faut aller. Chez TotalEnergies, on travaille en mer depuis de nombreuses années et on a aujourd’hui la chance d’appliquer ces compétences à l’éolien offshore pour poser les bases d’un avenir décarboné.

Je viens souvent en Écosse pour mon travail depuis que j’occupe mon poste. C’est un très bel endroit pour travailler. Il faut ajouter qu’en Écosse, la météo est parfois un peu rude. Mais c’est bien pour ça qu’on est là ! Globalement, le Royaume-Uni est bien placé pour l’éolien offshore. C’est une île, avec de très longues côtes. La vitesse du vent en mer est généralement supérieure à ce qu’elle est sur terre, car il y a moins d’obstacles. Et la surface de l’eau a un effet accélérateur.

On voit déjà beaucoup d’investissements dans l’éolien offshore au Royaume-Uni et en Écosse. Seule la Chine a plus de capacités installées offshore. Je crois que c’est cette année que les éoliennes ont produit plus d’électricité que les centrales à gaz pour la toute première fois.

J’ai commencé ma carrière dans la production d’électricité classique. J’ai passé les 10 premières années dans des centrales à gaz et à vapeur. Il y a beaucoup de complexité dans ces projets. Quand on m’a proposé de valoriser mes compétences en les transférant au secteur des renouvelables et de l’éolien offshore, j’ai sauté sur l’occasion !

TotalEnergies a de longues années d’expérience des hydrocarbures, avec la conception, la construction et l’opération de grands projets et d’installations dans le difficile milieu marin. Il y a un peu plus de trois ans, on a investi dans le projet Seagreen, avec nos partenaires de SSE Renewables. Seagreen se trouve à environ 27 km des côtes écossaises. C’est aujourd’hui le plus grand parc éolien d’Écosse, avec 114 turbines. En 2023, Seagreen est pleinement opérationnel et peut alimenter jusqu’à 1,6 million de foyers écossais en électricité verte, soit en gros deux foyers sur trois en Écosse. L’échelle de ces projets est extraordinaire. Développer, construire et opérer un parc éolien offshore, c’est un exploit. Il faut rassembler une équipe de divers experts pour y arriver.

Michelle Aitken, Responsable HSE TotalEnergies, éolien offshore Royaume-Uni

J’ai grandi en Norvège, tout au bord de la mer. Mes parents travaillaient en plateforme, ma voie était donc toute tracée ! Il y a deux ans, j’ai bifurqué vers l’éolien offshore et c’est la meilleure décision que j’aie jamais prise. L’éolien offshore reste un secteur relativement neuf. Tout reste à construire et on arrive à utiliser notre parcours et notre expérience en agissant de façon responsable. C’est un projet passionnant.

Martin Mciver, Responsable d'opération TotalEnergies, Offshore Wind UK

Je suis passé à l’éolien offshore en début d’année, au moment où Seagreen montait en régime. J’avais passé 10 ans dans les hydrocarbures en mer du Nord. C’est un milieu très rude. Il faut être sûr que les fondations et les turbines pourront résister aux assauts de la mer du Nord, en plein hiver. On a regardé la conception et on est en tête du secteur. Mais le voyage ne fait que commencer.

Julia Rose, Responsable du développement TotalEnergies, éolien offshore Royaume-Uni

D’après certaines estimations, pour atteindre la neutralité carbone, il faudrait construire 100 000 éoliennes offshore supplémentaires. L’éolien offshore s’est développé très vite pour devenir l’une des principales renouvelables, et à juste titre. C’est une source pratiquement illimitée d’électricité renouvelable, absolument essentielle pour décarboner l’avenir et le rendre plus durable.

J’ai rejoint TotalEnergies il y a un an. J’avais vraiment hâte d’être associé à sa croissance dans les renouvelables.

Je vais au travail le sourire aux lèvres.

TotalEnergies a ouvert la voie au développement de l’énergie renouvelable au Texas, mais aussi aux États-Unis et partout dans le monde.

TotalEnergies présente États-Unis
L’aventure multi-énergies
Le trading d’électricité avec Michael Heitmann

Au quotidien, chez TotalEnergies, mon travail consiste à organiser l’équipe de façon à optimiser le rendement économique de nos actifs. Cela veut dire regarder les prévisions météo, les prévisions de cours et de congestion sur le marché afin d’obtenir le meilleur prix pour notre énergie renouvelable.

« Tu en penses quoi, de cet avis de forte chaleur ? On dirait que ça va monter, cette semaine, jusqu’à 49. Si on n’a pas de vent et qu’il fait aussi chaud, le prix va grimper. »

Le marché américain de l’électricité devient plus complexe qu’en Europe du point de vue réglementaire.

C’est un marché fragmenté en de nombreuses régions, dont chacune a ses propres règles et sa façon de produire et de vendre des mégawatts sur ce marché.

En 2021, TotalEnergies a développ2 des projets renouvelables activement.

Et aujourd’hui, en 2023, ces projets portent leurs fruits.

On a près de 1 GW de projets solaires en opération dans l’État du Texas.

D’ici 2025, on aura près de 5 GW et à l’horizon 2030, on table sur 25 GW aux États-Unis.

La grande force de TotalEnergies sur le marché du trading d’électricité, c’est avoir déjà constitué des équipes très fortes pour le trading de GNL et de gaz.

Quand on veut développer des outils et stratégies de trading, on a déjà sous la main toute cette expertise à disposition.

On est une Compagnie intégrée, qui produit de l’énergie renouvelable et de l’autre côté, a des raffineries, du GNL et fournit du gaz.

On peut acheter l’énergie tirée de nos propres actifs pour alimenter nos raffineries.

Je trouve ça génial d’avoir ça.

Le futur du trading passe par une réflexion sur l’impact à venir des renouvelables sur le marché.

Pour réussir sur ce marché, il faudra non seulement réfléchir à cette énergie qui va arriver mais aussi rendre nos portefeuilles plus flexibles.

On vit un moment passionnant : l’énergie renouvelable croît comme jamais par le passé.

Il est essentiel de trouver des façons d’intégrer toute cette énergie aux marchés et ce, dans un esprit d’efficacité et de rentabilité.

Je n’ai jamais vu une croissance pareille.

C’est passionnant.

Fanny Cacherat, Business developper hydrogène – TotalEnergies Hydrogen Mobility Solutions

Ceci est une station multi-énergies qui propose électricité, essence, et hydrogène, comme vous le voyez derrière moi. TotalEnergies a ouvert sa première station hydrogène en 2002 à Berlin. Et aujourd’hui, dans le réseau TotalEnergies, nous en avons une trentaine en Europe.

Nous proposons du 350 bar pour les poids lourds ainsi que du 700 bar pour les poids lourds, aussi, et pour les véhicules légers : voitures, par exemple.
Les stations hydrogène sont un peu différentes des stations-service conventionnelles. On doit par exemple comprimer un gaz au lieu de pomper un liquide. Ce qui veut dire qu’il faut d’abord faire venir la molécule sur le site. Elle peut arriver par camion ou encore être directement produite sur place, par un électrolyseur, par exemple. Cet hydrogène est alors comprimé à la pression souhaitée. Et on le stocke sous haute pression dans la station. Étant limités à une certaine température dans le véhicule, on doit aussi ajouter un bloc de refroidissement pour pouvoir transférer l’hydrogène au véhicule.

Les conducteurs de poids lourds ont besoin d’une grande autonomie et d’un ravitaillement rapide. Et c’est là tout l’intérêt de l’hydrogène, qui peut répondre à ces besoins.

Chauffeur poids-lourd roulant à l’hydrogène

Mon expérience du camion à hydrogène ? C’est beaucoup plus propre, ce qui est bien pour les routiers mais aussi pour l’environnement. On a moins de bruit, presque aucun, ce qui est appréciable quand on est à l’arrière mais aussi pour les riverains. Et le ravitaillement est presque aussi rapide qu’un plein de diesel.

Fanny Cacherat

L’hydrogène est un allié majeur de la transition énergétique. Avec d’autres solutions, comme les batteries, il va nous aider à accompagner nos clients dans la décarbonation du transport.

Papouasie-Nouvelle-Guinée : racontée par ceux qui y travaillent

Vavine Fay Mulina
Responsable des Ressources Humaines

Je suis DRH de nos filiales en Papouasie-Nouvelle-Guinée.

John Tavaperry
Talent Developper

Je suis Talent Developer.

Charlotte Doyelle
Directrice des Opérations Maritimes

Je suis Marine Operations Manager.

Travailler en PNG, c’est comment ?

C’est un pays très intéressant et très beau. À l’instar de ce pays et de sa culture, toutes nos opérations en RH sont éminemment diverses. Ce n’est jamais pareil. Le projet en lui-même est très intéressant et unique en son genre. On est constamment poussé à s’améliorer sur tous les plans et l’on reçoit l’aide qui nous permet de le faire.

Qu’est-ce qui rend cette expérience unique ?

Je suis fier de faire partie de ce projet pour son aspect durable. Je suis convaincue qu’il n’y a pas beaucoup de pays au monde comme celui-ci. Ce que je retiens comme aspect clé de mon travail ici, c’est le fait qu’on donne la priorité à l’emploi local.

Comment est l’ambiance ?

L’ambiance au sein de l’équipe est super. Je me suis fait beaucoup d’amis en cinq ans. Les gens sont si gentils qu’il est facile d’apprendre à communiquer avec eux et de passer de bons moments.

Que diriez-vous à quelqu’un intéressé de vous rejoindre en PNG ?

Je dirais : n’hésitez surtout pas. On a tellement de choses à faire, tellement de choses à voir, une culture si riche, diverse, ancienne. Pour nous, c’était la première expatriation en famille mais c’est un endroit vraiment unique, avec des gens exceptionnels. On s’y sent très bien. Ce serait dommage de passer à côté. N’hésitez pas. N’ayez pas peur. Vous allez vivre quelque chose d’exceptionnel.

Une histoire intéressante à partager ?

Je n’oublierai jamais ma première sortie à la voile sur le Purari. C’était la première fois que je naviguais sur ce fleuve magnifique. Je me souviendrai toujours de ces paysages uniques.

L’expérience PNG en un mot ?

Une expérience incroyable et hors du commun. Je dirais "stimulant". Pour moi, "dynamique". "Novateur".

Jean-Marc Noiray, Directeur TotalEnergies EP PNG

On n’a pas tous les jours la chance de participer à un projet dans un pays très éloigné, rempli de challenges, un pays magnifique. Il nous faut des gens. En quantité. Et de qualité.

Tentez le défi PNG
Un projet attractif qui attire des talents

Bonjour à toutes et à tous,

Nous sommes le 6 octobre, et le Sustainab’ALL day, c'est aujourd'hui. Alors c'est l'occasion de découvrir ce qui se passe sur vos sites, de partager vos stories, souvenez-vous, ce qui est important, c'est que le programme Sustainab’ALL, il se passe localement, ce sont des actions concrètes sur vos sites. La preuve par l'exemple, je suis aujourd'hui à l'Industreet pour vous parler d'une story particulière liée au KPI 10. Nous sommes confrontés en France aujourd'hui à une pénurie d'installateurs de panneaux photovoltaïques, et de bornes de recharge électriques. C’est en particulier lié à la hausse du prix d'électricité. Les besoins sont estimés à 2025 à plus de 20 000 installateurs, soit plus du double de ceux qui existent aujourd'hui.

C'est un problème pour l'industrie, et pour nos équipes, qui cherchent à promouvoir le développement de l'électricité renouvelable en France et l'électrification des usages. Alors pourquoi l'Industreet ? Et bien parce qu'elle apporte une solution. L'Industreet, vous la connaissez, c'est cette école financée par la Fondation TotalEnergies, située à Stains dans le Nord de Paris. Elle propose à des jeunes de 18 à 30 ans des formations gratuites, dans le domaine de l'industrie de demain, qui en fait est l'industrie d'aujourd'hui. Parmi les formations proposées, il y en a deux qui concernent notre sujet, l'une pour l'installation de panneaux solaires, et l'autre pour des terminaux de distribution d'énergie. Concrètement ce sont plus de 90 jeunes qui ont été formés sur ces cursus, puis mis en relation avec l'écosystème pour des stages ou pour des emplois.

"Avant de venir à l'Industreet, j'ai fait un bac STMG, il y a quelques années de cela, puis ensuite j'ai travaillé dans la restauration, comme agent de tri, dans l'administratif, ensuite je voulais me réorienter dans un autre domaine, et finalement je suis tombé par hasard sur le site d'Industreet, via Instagram. La formation m'a directement plu, je me suis inscrit sans même passer par une journée "Portes Ouvertes". Tout était réuni pour que je vienne ici. On fait 20 % de théorie, 80 % de pratique, avec la pratique on apprend beaucoup plus vite. La théorie c'est pour nous apprendre à connaître les différents appareillages, et à savoir ce qu'est un panneau solaire, et les différents composants. Toutes ces choses-là sont importantes, avant de pouvoir prétendre à ce métier-là, et avoir un peu plus d'expérience avant de pouvoir être sur un chantier. Le contenu de la formation a dépassé mon espérance, la formation est gratuite, ça peut permettre à de nombreux apprenants de venir ici, sans crainte financière. Pour la suite j'aimerais bien décrocher un contrat, que ce soit en installation ou en maintenance. Ce que j'aime, c'est pouvoir aider de nombreuses personnes à passer à de l'énergie renouvelable. C'est ça qui me plaît."

Comme vous le voyez, c'est un projet concret qui permet d'une part d'aider les jeunes à se qualifier et à accéder à un emploi, et d'autre part qui a un impact positif sur un secteur industriel dans lequel la compagnie est active. Alors comme moi aujourd'hui, dès que possible partagez vos stories, avec idéalement des vidéos, des photos, des schémas, à faire remonter sur le Sharepoint Sustainable.

Très bon Sustainab’ALL day à toutes et à tous !

Et n'oubliez pas, nous avons tous un rôle à jouer.

Cette Coupe du Monde de Rugby 2023

N’aurait pas été aussi spéciale

Sans vous tous

Et vos belles énergies !

Merci à tous

Le Tournoi national des quartiers est un événement organisé par France 2023 en collaboration avec TotalEnergies.

Nous avions à cœur de faire de cette Coupe du monde un événement inclusif.

C'est pour cela que nous sommes allés à la rencontre de 6 000 jeunes des quartiers prioritaires dans dix collectivités hôte de la Coupe du monde, France 2023.

Alors aujourd'hui, c'est le dernier jour de ce tournoi national des quartiers.

C'est la grande finale et ça fait des mois que les enfants s'entraînent, qui participent à des ateliers sur le rugby, des ateliers citoyens qui ont été menés avec la police, avec la gendarmerie, avec les pompiers également, comme on peut le voir aujourd'hui.

Donc il va y avoir des médailles, il va y avoir un trophée et surtout, ça ne s'arrête pas là puisqu'on les emmène au Stade de France voir le match Angleterre Argentine.

On pouvait s'amuser, on pouvait aller dans les couloirs jouer.

C'est un peu comme une colo.

C’est juste une aventure incroyable pour eux comme pour nous.

En fait.