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Le plus dur, lorsqu’on est offshore, c’est de rester enfermé pendant 28 jours, de travailler avec les mêmes personnes et de servir les mêmes clients.

C’est plus compliqué de satisfaire ce type de clientèle qu’un client qui reste deux ou trois jours dans un hôtel.

MA VIE OFFSHORE

LUIS GUIMARÃES

Je m’appelle Luis Guimarães, j’ai 42 ans et cela fait trois mois que je suis intendant sur CLOV.

Un intendant, c’est un peu comme un directeur d’hôtel, il faut gérer 18 000 repas par mois, 2 tonnes de linge et 300 chambres.

CLOV est une grande plateforme, il faut donc se déplacer en permanence pour contrôler le travail des uns et des autres.

L’intendant et le chef cuisinier sont chargés de choisir les menus. Nous nous réunissons tous les jeudis et nous préparons les menus pour la semaine suivante.

Cela fait 5 ans que je travaille pour Total. C’est un client très exigeant, et cela nous incite à nous améliorer et à nous dépasser chaque jour.

C’est difficile de vivre sur CLOV pendant 28 jours alors que ma famille est au Portugal. Il faut avoir une vie stable à terre et un bon équilibre vie professionnelle-vie privée.

Lorsque je suis à la maison, je profite à 100 % de ma famille, je suis tout le temps avec eux. C’est l’avantage de travailler 28 jours d’affilée.